Trouver de nouvelles méthodes permettant de détecter les produits médicaux de qualité inférieure ou falsifiés devient urgent
Les 3 et 4 mai derniers, l’Université Paris-Saclay a participé à l’atelier Sense, Disrupt, and Prevent the Trade of Substandard / Falsified Medical Products, organisé par son partenaire nord-américain Northeastern University en collaboration avec des collègues de deux autres universités américaines (Boston University et University of Houston).
Sur les deux jours d’ateliers, les participants ont pu mieux comprendre, par le biais de deux présentations, l’urgence qu’il y a de trouver de nouvelles méthodes permettant de détecter les produits médicaux de qualité inférieure ou falsifiés (SF). Les sujets ont été développés par la suite au cours de 6 tables-rondes impliquant des acteurs majeurs des secteurs public et privé traitant de divers aspects de la question. Lors de la table-ronde sur les partenariats publics-privés pour la lutte contre les pandémies et micro-épidémies, Geoffroy Bessaud, pharmacien, ancien responsable de la coordination des activités de lutte contre la falsification des médicaments au sein du groupe Sanofi et actuellement directeur exécutif de l’OPALS, a représenté l’équipe de recherche de Paris-Saclay, qui collabore étroitement avec OPALS. Il a pu partager ses réflexions sur les bénéfices de la collaboration entre institutions publiques et privées dans ce domaine.